Puisque nous admettons tous la nocivité de l'exposition aux écrans avant l'âge de 4 ans, il semble logique de considérer celle-ci comme une maltraitance.
Jusqu'en 1956, du vin et du cidre étaient proposés dans les cantines scolaires. Leurs effets sur la santé étaient alors méconnus. La nocivité des écrans est aujourd'hui avérée. Ce n'est pas un hasard si les patrons des grandes entreprises du secteur numérique ne veulent pas que leurs enfants soient exposés aux écrans.
Si vous refusez la qualification de maltraitance, la réponse que vous apportez au problème est incomplète.