Sur le fond, je préférerais que l'on cible le public le plus large possible et que l'on aborde également les questions d'exposition à des contenus violents, d'addiction aux réseaux sociaux et de cyberharcèlement. Malheureusement, pour que cette proposition de loi soit cohérente et acceptée par les différents acteurs impliqués, notamment les départements, j'ai dû me limiter à la tranche d'âge des 0 à 6 ans. Adopter ces amendements fragiliserait l'ensemble du dispositif car cela nécessiterait de réécrire de nombreuses dispositions.