Nous partageons ces préoccupations, mais je rejoins le point de vue de la rapporteure.
Désolé de prononcer deux mots qui fâchent, mais il y a là une question de marché, d'une part, et d'industrie, d'autre part. Il existe un marché international de l'énergie dans lequel la France est intégrée – c'est encore plus sensible en ce qui concerne le nucléaire. Par ailleurs, on a affaire, en matière énergétique, à une industrie. Si on peut être disposé – et je le suis – à une réflexion concernant nos capacités d'installation sur le territoire, ce n'est certainement pas en interdisant à des entreprises de faire du commerce sur le marché international que l'on favorisera nos capacités de production.