De deux choses l'une. Soit nous n'avons pas besoin de ces contrats, auquel cas, en cette période de triste anniversaire de la guerre en Ukraine, nous avons le devoir moral d'y mettre fin ; soit vous ne dites pas la vérité – ou vous l'arrangez – en prétendant que nous pouvons nous en passer. Dans ce cas, il faut le reconnaître, car cette question est importante à l'heure de définir la stratégie énergétique française et d'accélérer le développement du nucléaire.