Il vise, comme ceux de mes collègues, à faire passer à 5,5 % le taux de TVA applicable aux aliments pour animaux destinés à la consommation humaine, en vue d'effacer toute différence de traitement fiscal entre l'alimentation animale et l'alimentation humaine et en totale conformité avec l'article 98 de la directive 2006/112/CE. L'idée est d'améliorer la trésorerie des agriculteurs, ce dont ils ont bien besoin en ce moment.