J'abonde dans le sens de ma collègue. Déjà, nous pensons qu'il est hasardeux de prolonger la vie de centrales conçues pour ne fonctionner qu'une quarantaine d'années au maximum, mais si prolongation il doit y avoir pour quelques réacteurs et dans le cadre de la transition vers 100 % d'énergies renouvelables, les procédures doivent être extrêmement rigoureuses. Or l'article 9 prévoit, dans des conditions bien trop floues selon nous, une simple déclaration en lieu et place d'une autorisation. Cela nous semble dangereux.