Je profite de cet amendement pour répondre aussi sur le fond au CD42, qui visait à limiter par décret le suivi de charge. Il ne me semble pas que ce soit à l'État d'intervenir en la matière ; c'est à l'exploitant de le faire, en l'occurrence à la Dooat, la direction optimisation amont/aval & trading d'EDF, ne serait-ce que pour pouvoir répondre aux situations d'urgence. Quant à l'usure que le suivi de charge provoque à terme sur les circuits, elle est connue, mesurée et contrôlée.