Je réaffirme que, dès le début de la libéralisation, soit vers la fin des années 1990, les conditions étaient celles d'un dialogue extrêmement positif entre la Commission européenne et, non seulement les autorités françaises mais aussi les acteurs français. De plus, le PDG d'EDF de l'époque se montrait absolument constructif. Certains ont pu avoir d'autres avis, mais il revient à chacun de se déterminer en fonction de ce qu'il pense être le meilleur pour son entreprise et son pays. Cependant, l'ensemble des évolutions du droit européen et du droit relatif au marché intérieur a été approuvé par le Parlement et le Conseil européens avec des majorités écrasantes et dans des conditions tout à fait dédramatisées.