Il ne s'agit pas d'atteindre 20 % de l'ensemble de la flotte des taxis mais seulement de la flotte des entreprises de taxis qui disposent d'au moins cinq licences, ce qui permettrait de parvenir à 1 200 taxis. Pour les entreprises individuelles, c'est-à-dire les taxis qui n'ont qu'une licence, le reste à charge demeure élevé. C'est pour eux que l'investissement est le plus difficile. L'État, dans une logique planificatrice, pourrait obliger les entreprises qui disposent de plus de cinq licences à contribuer à l'effort d'adaptation nécessaire.