Le coût des dispositifs évoqués sera, je le répète, à la charge des organisateurs de l'événement, et non pas à celle de l'État, et chacun peut refuser de se soumettre aux scanners millimétriques pour subir un contrôle de sécurité classique dans un contexte de compétition sportive.
Les scanners millimétriques sont déjà autorisés dans certains aéroports. En outre, des mesures de prévention s'imposent. Ainsi, il n'est pas possible de visionner à la fois l'écran et le visage de la personne contrôlée, ni d'opérer de rapprochement entre les images prises par le scanner et des fichiers contenant des données personnelles. Avis défavorable.