Le Cojop compte sur une ressource humaine qualifiée, indispensable à la réussite des Jeux : les 45 000 volontaires olympiques et paralympiques. L'article 14 A du projet de loi dispose que la Cour des comptes devra remettre au Parlement un rapport sur l'organisation, le coût et l'héritage des Jeux, qui comprendra un bilan du recours aux bénévoles. Le Cojop souhaite que l'expérience de volontaire olympique et paralympique soit reconnue comme une compétence acquise, en particulier pour l'exercice d'une activité lors de grands événements sportifs internationaux. Cette expérience pourra-t-elle également être mise en valeur dans le monde du travail, en donnant par exemple lieu à une équivalence ?
Les frais de mission des bénévoles, notamment pour l'hébergement, ne seront pas pris en charge, hormis les exceptions indiquées dans la charte du volontariat olympique et paralympique. Une déduction fiscale de ces montants pourrait-elle être envisagée ?
Si les candidatures ne suffisent pas à atteindre le nombre de volontaires espéré, est-il prévu, en secours, de faire appel aux jeunes engagés dans le cadre du service national universel (SNU), voire dans un service civique, alors que ceux-ci étaient initialement exclus du volontariat olympique et paralympique ?