Certaines des préconisations que Régis Marcon et moi avons formulées dans notre rapport sur l'avenir de la voie professionnelle ont été mises en œuvre, comme la co-intervention et le chef d'œuvre. La première suppose un travail en commun entre un enseignant en filière générale et un autre de discipline professionnelle – par exemple les mathématiques avec la pâtisserie. Quelles en sont les modalités d'application ? Le chef d'œuvre, quant à lui, fondé sur une démarche de projet et de réalisation collective, peut s'avérer particulièrement motivant. Comment envisagez-vous la suite sur ces deux aspects ?