Je comptais m'en remettre à la sagesse de l'Assemblée : le droit existant est suffisamment dur et n'est pas mal rédigé. Toutefois, j'ai été saisie d'entendre les arguments avancés de part et d'autre. Pardonnez-moi, mais nous vivons dans un État de droit, où chacun est libre d'avoir des opinions et de les exprimer dans les médias, sur les réseaux sociaux, partout ; rien ne justifie le fait qu'un lanceur d'alerte se croie obligé, pour se faire entendre, de pénétrer sur un site nucléaire, c'est-à-dire d'enfreindre la loi. En outre, l'espèce de romantisme…