Au premier décès survenant dans un couple, sa résidence principale entre dans l'assiette des droits de succession avec un abattement de 20 % seulement ; les héritiers autres que le conjoint survivant doivent donc souvent acquitter des droits sur un bien dont ils ne disposent pas, puisque le veuf ou la veuve continue généralement d'y habiter. Par conséquent, cet amendement dû à notre collègue et ami Dino Cinieri vise à ce qu'au premier décès, la résidence principale soit exonérée de tous droits de succession.