L'ordre du jour appelle la suite de la discussion du projet de loi de finances rectificative pour 2022 (n° 17, 147, 146).
Nous venons de convenir avec l'ensemble des présidents de groupe que serait autorisée une prise de parole par groupe lors de l'examen des amendements touchant un sujet d'importance ; les autres pourront bien sûr être soutenus ou défendus et feront l'objet d'un avis de la commission puis du Gouvernement, mais nous n'entendrons pas les deux orateurs – un pour, un contre – dont l'intervention est habituellement possible.