À l'heure de choisir une entreprise pour un chantier de maintenance d'une centrale, les décideurs se préoccupent assez peu des critères géographiques et privilégient la compétence. Il est bien normal, quand il s'agit d'ouvrir et de fermer une cuve de réacteur, de se préoccuper d'abord de la qualité du travail des techniciens ! Cela s'appelle la culture de sûreté ; il ne faut pas revenir dessus. En outre, les entreprises qui travaillent actuellement sur les chantiers sont en majorité françaises.
Quant à la nécessité de retrouver les compétences nécessaires, vous ne l'abordez pas dans le bon sens. Il s'agit non pas de s'assurer que l'ensemble des entreprises intervenant sur un chantier sont françaises, mais de réinternaliser au sein d'EDF les compétences en matière de maintenance,…