Il s'agit de créer une exception au périmètre désormais élargi retenu par la proposition de loi, exception qui s'appliquerait au droit du travail. Il est en effet proposé de rester dans l'épure du droit existant et de limiter l'action de groupe à la française aux cas de discrimination, considérant que les autres situations sont d'ores et déjà traitées, de manière habituelle et ordinaire, par les prud'hommes et par les syndicats.