Monsieur le garde des sceaux, ce ne sont pas des faits isolés ; chacun de nous a connu ce type d'affaire dans sa circonscription. Pensez à ce que peuvent ressentir des pompiers ou des policiers qui ont été agressés et qui, quelques semaines ou quelques mois plus tard, revoient leur agresseur, qui se permet de les narguer. C'est à des situations de ce genre que nous vous demandons de réagir.