Nous ne sommes qu'au début d'une réflexion sur la manière de s'orienter vers l'auto-consommation, qui ne peut être que collective et avec de nouvelles solidarités. Il faut sortir des œillères de la parcelle !
Nous avons rédigé un plaidoyer « Habitats, Villes, Territoires, l'architecture comme solution » car nous sommes convaincus que l'architecture est capable d'apporter sa contribution au croisement des crises climatique, de la biodiversité, sanitaire, etc. En 2050, les experts prévoient vingt jours de canicule mortelle par an. Il y a des façons de penser l'architecture pour s'adapter à ces nouvelles situations.