Tout à fait. En revanche, Augustin Landier ne le mentionnait pas lorsqu'il s'exprimait dans la presse avant la parution de l'étude, par exemple à la fin de l'année 2015 dans un article du Journal du dimanche qui présentait Uber comme une « solution d'avenir » pour lutter contre le chômage, à un moment où il était sous contrat avec Uber en tant que chercheur. C'est toute l'ingéniosité du lobbyiste, qui cherche à provoquer ce type de situations, à s'assurer que les bonnes personnes parlent au bon moment avec la bonne casquette.