Je suis l'auteur de l'article, qui précise que nous n'avons trouvé dans ces rendez-vous et ces échanges aucune trace d'acte manifestement illégal. Notre questionnement est plutôt de nature éthique ou politique : à quel point un ministre agissant sur un dossier qui est au cœur de l'actualité peut-il le faire dans un secret quasi total, en camouflant, y compris à ses collègues, les discussions parallèles qu'il mène avec un acteur important du débat ?