Un très grand nombre d'articles ont en effet été publiés dans la presse, non seulement pour faire état d'une pénurie de taxis mais encore pour « salir » l'image des taxis, cette pénurie étant souvent rapportée au « mauvais » taxi parisien. Or, Olivia Grégoire était précisément directrice adjointe d'iStrat au moment où ces articles étaient publiés sur plusieurs journaux en ligne tandis que la page Wikipédia était modifiée, chaque fois pour mettre en avant le fait que les taxis ne répondaient plus à l'offre ni à la qualité de service requises sur la base de données issues d'une société privée missionnée par Uber.
Vous nous avez indiqués que 20 000 taxis étaient présents à Paris aujourd'hui et 19 500 à l'époque. Pouvez-vous nous assurer de la fiabilité des informations dont vous disposez quant à vous concernant l'absence d'une réelle pénurie à l'époque ?
Vous nous avez dit qu'on connaissait le nombre de taxis mais pas celui de véhicules VTC et encore moins celui de chauffeurs car leur dénombrement est impossible dans le monde du VTC comme dans celui de la livraison en raison des possibilités de prêter les téléphones.
Avez-vous néanmoins pu communiquer avec la préfecture pour disposer d'une estimation du nombre de VTC à Paris ?