Monsieur le président, j'ai besoin de comprendre l'objet de votre question.
Même si l'on réussissait à prouver qu'une libéralisation était justifiée par une pénurie de taxis (ce qui paraît difficile avec une station de métro tous les 300 mètres et 20 000 taxis aujourd'hui à Paris contre 13 000 à New-York mais qui sont principalement concentrés à Manhattan), cela justifierait-il l'attitude d'Uber et l'écoute attentive accordée par les pouvoirs publics à cette plateforme ? La fin justifie-t-elle les moyens ? J'attends de la représentation nationale, et non d'un fonds étranger, qu'elle dicte la loi dans mon pays.