D'après The Guardian, Uber aurait incité les chauffeurs de VTC à se plaindre à la police de la violence des taxis et à mettre en scène des récits victimaires. Mark MacGann avait ainsi expliqué combien il était facile d'obtenir des photographies de violence à Barcelone et dit qu'il y aurait eu des collusions entre la stratégie de communication d'Uber et les grands médias pour y parvenir. Avez-vous eu le sentiment d'être victimes de ce type de manipulations ?
Vous dénoncez, non seulement une concurrence déloyale mais aussi un exercice illégal de la profession. Vous dites notamment que l'article 2 de la loi Grandguillaume n'est toujours pas appliqué. Comment cela se traduit-il au niveau des contrôles effectués ou non dans les aéroports, par exemple, concernant le respect du cadre légal de votre profession ?