Même par voie de presse, on voyait cette divergence de vues entre les ministres de l'Intérieur ou des Transports et M. Macron puisque ce dernier prenait position dans la presse pour dire que les positions des taxis étaient inacceptables alors qu'une médiation était en cours. Il prenait ainsi « à rebours » le travail mené par le ministre des Transports de l'époque et le député Grandguillaume, qui se confiait régulièrement sur les pressions qu'il subissait.