Vous dites que le symbole de l'assassinat du préfet Claude Érignac a « voyagé dans le temps » et que c'est la raison pour laquelle l'avis rendu était immuable. Or il ne l'a pas été pour MM. Alessandri et Ferrandi : depuis les années 2017 et 2018, si ma mémoire est bonne, nous avons donné, en tant que JAP, un avis favorable à leur radiation du répertoire des DPS, à la différence de celle de M. Colonna. Je ne pense pas que l'aspect symbolique ait eu une quelconque influence : nous avons fait des distinctions entre les membres dudit « commando Érignac ». Je rappelle aussi que l'autorité judiciaire n'émet qu'un avis en la matière, la décision étant prise au niveau administratif, voire politique, comme vous le savez.