J'ajoute que les représentants des Spip disposent, dans le cadre des GED, d'informations qu'ils ne restituent pas aux JAP, alors qu'ils sont mandatés par eux pour assurer le suivi des condamnés en milieu ouvert. C'est un paradoxe que je ne comprends pas, et une situation qui ne me paraît pas normale. Vous vous doutez bien qu'en cas d'incident grave, c'est du côté des magistrats qu'on rechercherait assez vite une responsabilité.