L'amendement AC24 tend à remplacer la notion de bien-être – très confuse, comme l'a dit mon collègue Chudeau – par celle, bien plus concrète, de santé physique. Cette dernière est affectée chez certains jeunes sous l'emprise des réseaux sociaux, alors que, selon l'Organisation mondiale de la santé, 87 % des jeunes Français ont une activité physique inférieure au minimum recommandé d'une heure par jour, et que la crise sanitaire a aggravé la situation.
L'amendement AC23 vise à ajouter à la notion de santé physique celle de niveau scolaire, un paramètre sur lequel l'impact des réseaux sociaux est avéré : cela procurerait un instrument de mesure ou, en tout cas, une vigie.