Nous voterons contre l'amendement. En effet, la rédaction de l'article est déjà large – presque trop, même si nous le voterons : la notion de bien-être est floue et très subjective ; il n'existe pas de ministère du bien-être… Quoi qu'il en soit, il nous paraît excessif d'ajouter ici les notions de surinformation et d'exposition aux fausses informations, dont la définition demande à être précisée et n'a encore été définitivement validée par aucune autorité. Ne surchargeons pas l'article.