Lorsque nous, élus de la nation, nous battons pour favoriser un retour au pays, nous faisons face au mur d'administrations notoirement connues pour leurs cercles d'amitié – je parlerais même de corporatisme. Regardez leurs organigrammes et vous comprendrez, très simplement. Est-il normal que nous, députés ultramarins, devions quasiment supplier les ministres, pour que le centre des intérêts matériels et moraux (CIMM) émette une juste appréciation lorsque nos compatriotes fonctionnaires veulent tout simplement être mutés chez eux ou à proximité ?