Au contraire, nous devons libérer la puissance politique des femmes et des mères car, comme l'écrit Fatima Ouassak, c'est par l'organisation collective, politique, que les mères pourront assurer les conditions matérielles de leur existence et de celle de leurs enfants. Voilà le souffle féministe émancipé dont nous avons besoin pour déterminer les contours d'une nouvelle politique pour les familles, ouverte sur les évolutions de la société et du monde.