La vraie rupture entre nous, c'est que vous voyez le projet de service national universel comme une contrainte, quand nous le voyons comme une émancipation. Nous le construisons avec l'éducation populaire, avec l'école, avec les corps en uniforme. Oui, l'engagement est un parcours. Aujourd'hui, c'est un service civique ; demain, ce sera une réserve. Ils rejoindront peut-être la gendarmerie, peut-être la protection civile, peut-être les sapeurs-pompiers volontaires dont nous avons besoin pour combattre les feux et les effets de la transition environnementale.