Je n'ai pas grand-chose à ajouter à ce qu'a dit M. Bouchut. Le constat est identique dans le secteur de l'aide à domicile. L'amélioration des gestes professionnels devrait être obligatoire dans notre métier. En effet, on a vite fait de se blesser et de réaliser certains gestes en prenant de mauvaises habitudes, qu'il est ensuite difficile de perdre. Au-delà d'être obligatoires, les formations devraient être continues.
S'agissant des droits collectifs, il serait souhaitable que notre métier, couvert par plusieurs conventions collectives, soit rassemblé sous une convention unique reconnaissant la pénibilité dont souffrent toutes les auxiliaires de vie, quel que soit leur statut juridique.