Mensonge, tout d'abord, sur l'urgence financière de cette réforme. Même l'un de vos soutiens, Jacques Attali, affirme ce matin dans le journal Les Échos – vous avez dû lire l'article, madame Borne – que cette réforme des retraites « n'est en rien, pour personne, la priorité absolue du pays ». Mais on le sait bien, quand on veut tuer son chien, on l'accuse d'avoir la rage.