Ce non-choix nous a été imposé. Entre les ultralibéraux et les ultralibéraux xénophobes, cela n'a pas été facile. Je ne vous dirais pas que nous étions heureux dans l'isoloir ; c'est même la mort dans l'âme que nous avons parfois mis un bulletin au nom d'Emmanuel Macron.
Mais nous l'avons fait parce que nous savons trop bien le danger, la violence, l'insécurité, l'acharnement contre les minorités, la fermeture du pays et la guerre de tous contre tous que nous promettait Marine Le Pen. On ne peut donc que s'en vouloir, me direz-vous ? C'était sans compter l'engagement du Président-candidat, qui rappelait à qui voulait l'entendre que la réforme des retraites serait réellement débattue. Résultat : une nouvelle promesse non tenue !