Il n'est pas question que nous fassions semblant, les uns ou les autres, et si nous devons nous réjouir, nous devons le faire à bon escient, y compris vis-à-vis de ceux qui nous écoutent depuis l'extérieur et à qui il est temps de ne plus faire de fausses promesses.
Prenons trois cas d'école, trois personnes qui commencent à travailler au jour anniversaire, l'un de ses 14 ans, un deuxième de ses 16 ans et un dernier de ses 18 ans. Celui qui a commencé à travailler à 14 ans et qui aujourd'hui doit quarante-quatre annuités pour pouvoir partir à la retraite à 58 ans,…