tantôt sur les 1 200 euros, tantôt sur les carrières longues, tantôt sur les femmes, tantôt sur les 90 000 chômeurs que votre réforme créera, tantôt sur la baisse de 3 % des salaires qu'elle provoquera, tantôt sur celle de 6 % des pensions à âge de départ constant. Voilà la réalité.
Tant les macronistes que le Rassemblement national souhaitent que le débat s'arrête ce soir, alors que nous pouvions tout à fait débattre une semaine de plus. En effet, vous avez peur, non pas de l'article 7, mais du 7 mars, c'est-à-dire de la mobilisation du peuple français qui vous fera reculer !