Je ne parle pas de vous, madame la députée.
Si vous étiez vraiment sincères, vous feriez en sorte, puisque vous en avez les moyens, de contribuer à la solidarité nationale. Augmentons les taxes et les impôts et tout sera réglé. Au lieu de cela, vous continuez à organiser méthodiquement le déficit des caisses de retraite au bénéfice de vos ministres.
J'ai deux questions, messieurs les ministres. Et puisque vous êtes là, ce serait bien que vous y répondiez.