Nous aimons qu'il soit bien rémunéré et que ces revenus permettent de relancer la consommation populaire ; qu'il soit partagé, réduisant le temps que chacun lui consacre ; qu'il émancipe, non qu'il se prolonge jusqu'à 64 ans, brisant le corps et la santé. Nous aimons enfin le travail utile, lequel n'est pas forcément, pour citer André Gorz, un « travail-emploi », mais aussi ce travail des retraités que vous niez, que vous voulez raréfier grâce à votre réforme, car vous, vous ne l'aimez pas !