Ainsi n'avez-vous eu de cesse de déréguler, à tel point qu'il ne restait que deux piliers, deux beaux services publics : d'un côté, la santé et la sécurité sociale, de l'autre, l'éducation. Or, même dans nos hôpitaux, des patients meurent dans les couloirs. Quant à l'éducation, nous sommes contraints d'embaucher des professeurs contractuels.