Nous avons adopté une loi, que vous n'avez pas votée, afin de reconnaître le statut des travailleurs des plateformes, de les protéger et d'articuler le droit national avec le droit européen. Grâce à cette loi et grâce aux ordonnances prises par Élisabeth Borne, alors ministre du travail, ils se sont organisés ; il y a quelques semaines, j'ai rencontré, avec Clément Beaune, les organisations représentatives des chauffeurs et celles des plateformes pour signer un premier accord sur la course minimum. Vous n'étiez pas là pour vous féliciter d'un prix minimum, vous n'étiez pas là pour vous féliciter de la progression des droits !