Madame la présidente de la commission des affaires sociales, ce qui est fort de café, c'est de recevoir des leçons en matière de maintien, ou de respect du Parlement, ou des procès en obstruction, de la part de ceux qui n'ont pas moufté quand un membre du Gouvernement a dit hier qu'il n'avait pas de comptes à rendre à la représentation nationale ! Voilà pourtant ce qui abîme le Parlement et la démocratie !