Nous avons subi hier une fin de soirée des plus catastrophiques. J'aimerais que vous preniez conscience, collègues macronistes, de votre attitude : toutes les interventions des camarades femmes sur les amendements relatifs à l'égalité salariale et aux droits des femmes ont été chahutées ; le seul moment où vous avez fait silence, c'est quand un homme dans vos rangs a pris la parole.