Elles partent avec une pénalité, en matière d'annuités à engranger, que votre réforme aggravera. Globalement, une femme sur cinq attend déjà 67 ans pour ne pas subir une décote qui la plongerait dans la précarité ; c'est un état de fait que nul ici, me semble-t-il, ne peut tolérer.
Nous proposons donc d'accroître les sanctions contre les entreprises qui ne luttent pas contre les inégalités ; ces sanctions permettront de financer le système de retraite, afin de faire diminuer la précarité des femmes retraitées. C'est un peu du win-win, comme vous le dites souvent !