Avant d'évoquer la question du temps de travail, je tiens à vous dire, madame Bonnivard, qu'il n'est pas correct que nos millions de concitoyennes et de concitoyens qui vivent des minima sociaux et qui tentent chaque jour de survivre se voient insulter à l'Assemblée nationale avec l'usage du terme « assistanat ». Vous devriez présenter vos excuses.