Évidemment que la question de la répartition des richesses est pour nous centrale ; c'est le but de nos amendements et nous pouvons en discuter. Mais le débat est complètement pollué, depuis le début, par l'attitude du Gouvernement. Il est faux de dire qu'il faut attendre l'examen de l'article 8 pour prendre des décisions politiques et arrêter son vote.