Au cours de ce débat, vous avez énoncé beaucoup d'arguments ringards évoquant la réussite des milliardaires et le mérite de ceux qui gagnent de l'argent simplement en dormant, prétextant toujours le travail.
Je vous propose de nous projeter dans l'avenir – en réalité un avenir déjà très présent – et d'intégrer à la réflexion sur le financement des retraites les mutations du travail et de l'économie.
Depuis de longues heures, et même de longues années, nous avons compris que vous refusez de mettre à contribution les milliardaires, les millionnaires, les rentiers et les héritiers.