avait baissé le taux de cette contribution, et ce précisément pour les raisons que j'ai évoquées.
Je répète que nous assumons de poursuivre la baisse des impôts de production et, sur cette question, je vous renvoie à un très bon article paru dans Les Échos il y a deux jours, lequel indiquait que leur niveau demeure en France nettement supérieur à celui de nos voisins et à la moyenne européenne. Les impôts de production sont toujours quatre ou cinq fois plus élevés en France qu'en Allemagne.