Nous étions en 2010 ; l'Assemblée examinait un projet de réforme des retraites dont l'injustice nécessitait un alibi. Il fallait mettre à contribution, disiez-vous, ceux qui perçoivent ces pensions indécentes.
Vous nous accusiez tout à l'heure, nous, la gauche, de vouloir remédier à tous les problèmes par la création de nouvelles taxes : vous, les macronistes, dès qu'un problème survient, vous baissez les taxes.