Je ne reviendrai pas sur les très bons arguments avancés par mes collègues. J'ajouterai simplement qu'au moment où l'on veut récompenser le travail et accroître la différence entre ceux qui font l'effort d'aller travailler et les autres, nous ne pouvons pas rejeter un tel amendement qui aiderait au moins un peu nos concitoyens en ces temps très difficiles.